couverture du magazine epsiloon

Le crowdfunding fait (re)naître les médias !

Publié le
6
/
06/2021
Mis à jour le
6
/
06/2021
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Le crowdfunding fait (re)naître les médias !

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A moins de vivre sur Mars, vous n’avez pas pu passer à côté du lancement de Epsiloon sur Ulule. Une campagne sans précédent pour un nouveau titre de presse. Et pas n’importe quel titre, un nouveau magazine d’actualité scientifique ! Le financement participatif pour la presse fait mentir toutes celles et ceux qui affirment (parfois avec arrogance) que la presse se meurt. Et c’est tant mieux !

Epsiloon, retour vers le succès

Il y a quelques mois, la rédaction de Sciences & Vie démissionnait pour imaginer un nouveau magazine indépendant et réinventer la presse scientifique du XXIème siècle. Dans ce mensuel, ces conteurs et conteuses de science ont à cœur de proposer un éclairage sur l’actualité pour stimuler l’imaginaire des lecteurs et lectrices et favoriser leur réflexion.

Pour chaque numéro, une centaine de scientifiques du monde entier seront mobilisé·e·s pour raconter des histoires extraordinaires (des galaxies à l’intelligence artificielle), fiables et accessibles à tou·te·s. Ces chercheurs et chercheuses analyseront les mouvements de société, débatteront des progrès de la science et bouleverseront les idées reçues. L’objectif : permettre aux abonné·e·s de se forger leur propre opinion.

En lançant leur campagne sur Ulule, l’équipe d’Epsiloon ne se doutait vraisemblablement pas du succès qu’elle allait rencontrer !

Pour Arnaud Burgot, Directeur Général chez Ulule, “Il s’agit du plus gros lancement d’un média francophone en crowdfunding”.

En une journée, Epsiloon comptait déjà 5 000 préventes et 8 jours plus tard dépassait les 35 000 abonnements, de quoi assurer la diffusion des premiers numéros et développer, à plus long terme, un écosystème global (podcasts, rencontres, hors-séries) !

Si ce n’est pas déjà fait, c’est le moment de les soutenir et de vous abonner !

Faire naître et renaître des projets de presse

Le crowdfunding est un important moteur de croissance pour les médias en devenir ou en plein développement. Si dans certains cas, des projets d’édition se lancent pour la première fois sur Ulule, d’autres n’en sont pas à leur première campagne ! Le magazine So good, Tchika ou encore le média Socialter illustrent bien cette tendance en s’appuyant régulièrement sur le potentiel viral du crowdfunding et sur l’adhésion de leurs communautés pour lancer leurs nouvelles éditions et hors séries.

On a toujours eu de nombreux projets médias sur Ulule. Pour beaucoup d’entre eux, le financement participatif devient une partie de leur modèle économique pour financer un premier numéro, un hors série, même si on ne peut pas forcément le faire à chaque fois. Cela peut être intéressant de renouveler les campagnes, à condition de réussir à relancer l’intérêt” affirme Lucile Tauvel, Responsable de l’équipe projets chez Ulule.

En 2020, Ulule s’associait à So Press pour lancer So good, le premier magazine grand public consacré à l’impact en France. Au terme d’une première campagne sur Ulule, plus de 14 000 abonnements avaient été souscrits et avaient permis de publier les 3 premiers numéros du magazine. En 2021, pour sa saison 2, So good a atteint son objectif de 15 000 abonnements pour poursuivre l’édition de son trimestriel et lancer sa webradio.

Fort du succès de ses précédentes campagnes, tout comme So good, Tchika se lançait sur Ulule en 2019. Ce premier magazine papier pour l’égalité filles-garçons (7-12 ans) casse les stéréotypes de genre et aide ses jeunes lecteurs et lectrices à penser différemment et à développer leur estime de soi sans injonction. Une campagne à succès (325% de l’objectif atteint) et 9 numéros plus tard, Tchikita, la petite sœur de Tchika, voit le jour sur Ulule et s’adresse, cette fois-ci, aux plus jeunes, âgé·e·s de 4 à 7 ans.

Comme de nombreux médias, Socialter, le bimestriel des transitions, a financé plusieurs de ses hors-séries sur Ulule. Après le lancement des numéros « Le réveil des imaginaires » et « Renouer avec le vivant », ce magazine propose ce mois-ci un nouveau hors-série de 196 pages sur la « famine temporelle ».

Enfin, le financement participatif peut également être utilisé pour faire renaître des médias. C’est notamment le cas des titres du groupe Nice-Matin, qui en 2014, étaient au bord de la faillite et dont les salarié·e·s se sont portés candidat·e·s pour un rachat vertueux. Cette initiative a été appuyée par le soutien de contributeur·rice·s mobilisé·e·s au sein d’une campagne sur Ulule, qui s’est soldée par un succès ! Quatre ans plus tard, Têtu, le magazine d’information LGBTQI+ était, tout comme Nice-Matin, était en passe de disparaître après 20 ans d’existence. L’entrepreneur et investisseur de la French Tech, Albin Serviant, s’est alors tourné vers le financement participatif pour lui donner une seconde vie. Ce fut chose faite grâce à la mobilisation de 2 222 contributeur·rice·s et la vente de 1 000 pré-abonnements en seulement 48h.

Pour un média, avoir recours au financement participatif c’est construire un modèle économique capable d’assurer la diffusion de numéros et renforcer l’adhésion du lectorat à ces projets !

A moins de vivre sur Mars, vous n’avez pas pu passer à côté du lancement de Epsiloon sur Ulule. Une campagne sans précédent pour un nouveau titre de presse. Et pas n’importe quel titre, un nouveau magazine d’actualité scientifique ! Le financement participatif pour la presse fait mentir toutes celles et ceux qui affirment (parfois avec arrogance) que la presse se meurt. Et c’est tant mieux !

Epsiloon, retour vers le succès

Il y a quelques mois, la rédaction de Sciences & Vie démissionnait pour imaginer un nouveau magazine indépendant et réinventer la presse scientifique du XXIème siècle. Dans ce mensuel, ces conteurs et conteuses de science ont à cœur de proposer un éclairage sur l’actualité pour stimuler l’imaginaire des lecteurs et lectrices et favoriser leur réflexion.

Pour chaque numéro, une centaine de scientifiques du monde entier seront mobilisé·e·s pour raconter des histoires extraordinaires (des galaxies à l’intelligence artificielle), fiables et accessibles à tou·te·s. Ces chercheurs et chercheuses analyseront les mouvements de société, débatteront des progrès de la science et bouleverseront les idées reçues. L’objectif : permettre aux abonné·e·s de se forger leur propre opinion.

En lançant leur campagne sur Ulule, l’équipe d’Epsiloon ne se doutait vraisemblablement pas du succès qu’elle allait rencontrer !

Pour Arnaud Burgot, Directeur Général chez Ulule, “Il s’agit du plus gros lancement d’un média francophone en crowdfunding”.

En une journée, Epsiloon comptait déjà 5 000 préventes et 8 jours plus tard dépassait les 35 000 abonnements, de quoi assurer la diffusion des premiers numéros et développer, à plus long terme, un écosystème global (podcasts, rencontres, hors-séries) !

Si ce n’est pas déjà fait, c’est le moment de les soutenir et de vous abonner !

Faire naître et renaître des projets de presse

Le crowdfunding est un important moteur de croissance pour les médias en devenir ou en plein développement. Si dans certains cas, des projets d’édition se lancent pour la première fois sur Ulule, d’autres n’en sont pas à leur première campagne ! Le magazine So good, Tchika ou encore le média Socialter illustrent bien cette tendance en s’appuyant régulièrement sur le potentiel viral du crowdfunding et sur l’adhésion de leurs communautés pour lancer leurs nouvelles éditions et hors séries.

On a toujours eu de nombreux projets médias sur Ulule. Pour beaucoup d’entre eux, le financement participatif devient une partie de leur modèle économique pour financer un premier numéro, un hors série, même si on ne peut pas forcément le faire à chaque fois. Cela peut être intéressant de renouveler les campagnes, à condition de réussir à relancer l’intérêt” affirme Lucile Tauvel, Responsable de l’équipe projets chez Ulule.

En 2020, Ulule s’associait à So Press pour lancer So good, le premier magazine grand public consacré à l’impact en France. Au terme d’une première campagne sur Ulule, plus de 14 000 abonnements avaient été souscrits et avaient permis de publier les 3 premiers numéros du magazine. En 2021, pour sa saison 2, So good a atteint son objectif de 15 000 abonnements pour poursuivre l’édition de son trimestriel et lancer sa webradio.

Fort du succès de ses précédentes campagnes, tout comme So good, Tchika se lançait sur Ulule en 2019. Ce premier magazine papier pour l’égalité filles-garçons (7-12 ans) casse les stéréotypes de genre et aide ses jeunes lecteurs et lectrices à penser différemment et à développer leur estime de soi sans injonction. Une campagne à succès (325% de l’objectif atteint) et 9 numéros plus tard, Tchikita, la petite sœur de Tchika, voit le jour sur Ulule et s’adresse, cette fois-ci, aux plus jeunes, âgé·e·s de 4 à 7 ans.

Comme de nombreux médias, Socialter, le bimestriel des transitions, a financé plusieurs de ses hors-séries sur Ulule. Après le lancement des numéros « Le réveil des imaginaires » et « Renouer avec le vivant », ce magazine propose ce mois-ci un nouveau hors-série de 196 pages sur la « famine temporelle ».

Enfin, le financement participatif peut également être utilisé pour faire renaître des médias. C’est notamment le cas des titres du groupe Nice-Matin, qui en 2014, étaient au bord de la faillite et dont les salarié·e·s se sont portés candidat·e·s pour un rachat vertueux. Cette initiative a été appuyée par le soutien de contributeur·rice·s mobilisé·e·s au sein d’une campagne sur Ulule, qui s’est soldée par un succès ! Quatre ans plus tard, Têtu, le magazine d’information LGBTQI+ était, tout comme Nice-Matin, était en passe de disparaître après 20 ans d’existence. L’entrepreneur et investisseur de la French Tech, Albin Serviant, s’est alors tourné vers le financement participatif pour lui donner une seconde vie. Ce fut chose faite grâce à la mobilisation de 2 222 contributeur·rice·s et la vente de 1 000 pré-abonnements en seulement 48h.

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A moins de vivre sur Mars, vous n’avez pas pu passer à côté du lancement de Epsiloon sur Ulule. Une campagne sans précédent pour un nouveau titre de presse. Et pas n’importe quel titre, un nouveau magazine d’actualité scientifique ! Le financement participatif pour la presse fait mentir toutes celles et ceux qui affirment (parfois avec arrogance) que la presse se meurt. Et c’est tant mieux !

Epsiloon, retour vers le succès

Il y a quelques mois, la rédaction de Sciences & Vie démissionnait pour imaginer un nouveau magazine indépendant et réinventer la presse scientifique du XXIème siècle. Dans ce mensuel, ces conteurs et conteuses de science ont à cœur de proposer un éclairage sur l’actualité pour stimuler l’imaginaire des lecteurs et lectrices et favoriser leur réflexion.

Pour chaque numéro, une centaine de scientifiques du monde entier seront mobilisé·e·s pour raconter des histoires extraordinaires (des galaxies à l’intelligence artificielle), fiables et accessibles à tou·te·s. Ces chercheurs et chercheuses analyseront les mouvements de société, débatteront des progrès de la science et bouleverseront les idées reçues. L’objectif : permettre aux abonné·e·s de se forger leur propre opinion.

En lançant leur campagne sur Ulule, l’équipe d’Epsiloon ne se doutait vraisemblablement pas du succès qu’elle allait rencontrer !

Pour Arnaud Burgot, Directeur Général chez Ulule, “Il s’agit du plus gros lancement d’un média francophone en crowdfunding”.

En une journée, Epsiloon comptait déjà 5 000 préventes et 8 jours plus tard dépassait les 35 000 abonnements, de quoi assurer la diffusion des premiers numéros et développer, à plus long terme, un écosystème global (podcasts, rencontres, hors-séries) !

Si ce n’est pas déjà fait, c’est le moment de les soutenir et de vous abonner !

Faire naître et renaître des projets de presse

Le crowdfunding est un important moteur de croissance pour les médias en devenir ou en plein développement. Si dans certains cas, des projets d’édition se lancent pour la première fois sur Ulule, d’autres n’en sont pas à leur première campagne ! Le magazine So good, Tchika ou encore le média Socialter illustrent bien cette tendance en s’appuyant régulièrement sur le potentiel viral du crowdfunding et sur l’adhésion de leurs communautés pour lancer leurs nouvelles éditions et hors séries.

On a toujours eu de nombreux projets médias sur Ulule. Pour beaucoup d’entre eux, le financement participatif devient une partie de leur modèle économique pour financer un premier numéro, un hors série, même si on ne peut pas forcément le faire à chaque fois. Cela peut être intéressant de renouveler les campagnes, à condition de réussir à relancer l’intérêt” affirme Lucile Tauvel, Responsable de l’équipe projets chez Ulule.

En 2020, Ulule s’associait à So Press pour lancer So good, le premier magazine grand public consacré à l’impact en France. Au terme d’une première campagne sur Ulule, plus de 14 000 abonnements avaient été souscrits et avaient permis de publier les 3 premiers numéros du magazine. En 2021, pour sa saison 2, So good a atteint son objectif de 15 000 abonnements pour poursuivre l’édition de son trimestriel et lancer sa webradio.

Fort du succès de ses précédentes campagnes, tout comme So good, Tchika se lançait sur Ulule en 2019. Ce premier magazine papier pour l’égalité filles-garçons (7-12 ans) casse les stéréotypes de genre et aide ses jeunes lecteurs et lectrices à penser différemment et à développer leur estime de soi sans injonction. Une campagne à succès (325% de l’objectif atteint) et 9 numéros plus tard, Tchikita, la petite sœur de Tchika, voit le jour sur Ulule et s’adresse, cette fois-ci, aux plus jeunes, âgé·e·s de 4 à 7 ans.

Comme de nombreux médias, Socialter, le bimestriel des transitions, a financé plusieurs de ses hors-séries sur Ulule. Après le lancement des numéros « Le réveil des imaginaires » et « Renouer avec le vivant », ce magazine propose ce mois-ci un nouveau hors-série de 196 pages sur la « famine temporelle ».

Enfin, le financement participatif peut également être utilisé pour faire renaître des médias. C’est notamment le cas des titres du groupe Nice-Matin, qui en 2014, étaient au bord de la faillite et dont les salarié·e·s se sont portés candidat·e·s pour un rachat vertueux. Cette initiative a été appuyée par le soutien de contributeur·rice·s mobilisé·e·s au sein d’une campagne sur Ulule, qui s’est soldée par un succès ! Quatre ans plus tard, Têtu, le magazine d’information LGBTQI+ était, tout comme Nice-Matin, était en passe de disparaître après 20 ans d’existence. L’entrepreneur et investisseur de la French Tech, Albin Serviant, s’est alors tourné vers le financement participatif pour lui donner une seconde vie. Ce fut chose faite grâce à la mobilisation de 2 222 contributeur·rice·s et la vente de 1 000 pré-abonnements en seulement 48h.

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Il y a quelques mois, la rédaction de Sciences & Vie démissionnait pour imaginer un nouveau magazine indépendant et réinventer la presse scientifique du XXIème siècle. Dans ce mensuel, ces conteurs et conteuses de science ont à cœur de proposer un éclairage sur l’actualité pour stimuler l’imaginaire des lecteurs et lectrices et favoriser leur réflexion.

Pour chaque numéro, une centaine de scientifiques du monde entier seront mobilisé·e·s pour raconter des histoires extraordinaires (des galaxies à l’intelligence artificielle), fiables et accessibles à tou·te·s. Ces chercheurs et chercheuses analyseront les mouvements de société, débatteront des progrès de la science et bouleverseront les idées reçues. L’objectif : permettre aux abonné·e·s de se forger leur propre opinion.

En lançant leur campagne sur Ulule, l’équipe d’Epsiloon ne se doutait vraisemblablement pas du succès qu’elle allait rencontrer !

Pour Arnaud Burgot, Directeur Général chez Ulule, “Il s’agit du plus gros lancement d’un média francophone en crowdfunding”.

En une journée, Epsiloon comptait déjà 5 000 préventes et 8 jours plus tard dépassait les 35 000 abonnements, de quoi assurer la diffusion des premiers numéros et développer, à plus long terme, un écosystème global (podcasts, rencontres, hors-séries) !

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Le crowdfunding est un important moteur de croissance pour les médias en devenir ou en plein développement. Si dans certains cas, des projets d’édition se lancent pour la première fois sur Ulule, d’autres n’en sont pas à leur première campagne ! Le magazine So good, Tchika ou encore le média Socialter illustrent bien cette tendance en s’appuyant régulièrement sur le potentiel viral du crowdfunding et sur l’adhésion de leurs communautés pour lancer leurs nouvelles éditions et hors séries.

On a toujours eu de nombreux projets médias sur Ulule. Pour beaucoup d’entre eux, le financement participatif devient une partie de leur modèle économique pour financer un premier numéro, un hors série, même si on ne peut pas forcément le faire à chaque fois. Cela peut être intéressant de renouveler les campagnes, à condition de réussir à relancer l’intérêt” affirme Lucile Tauvel, Responsable de l’équipe projets chez Ulule.

En 2020, Ulule s’associait à So Press pour lancer So good, le premier magazine grand public consacré à l’impact en France. Au terme d’une première campagne sur Ulule, plus de 14 000 abonnements avaient été souscrits et avaient permis de publier les 3 premiers numéros du magazine. En 2021, pour sa saison 2, So good a atteint son objectif de 15 000 abonnements pour poursuivre l’édition de son trimestriel et lancer sa webradio.

Fort du succès de ses précédentes campagnes, tout comme So good, Tchika se lançait sur Ulule en 2019. Ce premier magazine papier pour l’égalité filles-garçons (7-12 ans) casse les stéréotypes de genre et aide ses jeunes lecteurs et lectrices à penser différemment et à développer leur estime de soi sans injonction. Une campagne à succès (325% de l’objectif atteint) et 9 numéros plus tard, Tchikita, la petite sœur de Tchika, voit le jour sur Ulule et s’adresse, cette fois-ci, aux plus jeunes, âgé·e·s de 4 à 7 ans.

Comme de nombreux médias, Socialter, le bimestriel des transitions, a financé plusieurs de ses hors-séries sur Ulule. Après le lancement des numéros « Le réveil des imaginaires » et « Renouer avec le vivant », ce magazine propose ce mois-ci un nouveau hors-série de 196 pages sur la « famine temporelle ».

Enfin, le financement participatif peut également être utilisé pour faire renaître des médias. C’est notamment le cas des titres du groupe Nice-Matin, qui en 2014, étaient au bord de la faillite et dont les salarié·e·s se sont portés candidat·e·s pour un rachat vertueux. Cette initiative a été appuyée par le soutien de contributeur·rice·s mobilisé·e·s au sein d’une campagne sur Ulule, qui s’est soldée par un succès ! Quatre ans plus tard, Têtu, le magazine d’information LGBTQI+ était, tout comme Nice-Matin, était en passe de disparaître après 20 ans d’existence. L’entrepreneur et investisseur de la French Tech, Albin Serviant, s’est alors tourné vers le financement participatif pour lui donner une seconde vie. Ce fut chose faite grâce à la mobilisation de 2 222 contributeur·rice·s et la vente de 1 000 pré-abonnements en seulement 48h.

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